Confessions d’un Misandronist misanthrope

J'ai un profond, sombre secret que j'ai vécu avec pendant trop de ma vie. Je déteste mon genre. Peut-être je ne déteste pas au point que je me sens soutenu le genre faux ou souhaite changer ou quelque chose. J'ai juste une répugnance située en profondeur de ce que sont les hommes et par extension, ce qui suis je. Au moins, je déteste ce que j'ai été enseigné à toute ma vie, de petites manières innombrables, que les hommes sont. Dans la culture populaire il y a cette notion d'une femme prenant l'homme, rugueuse autour des bords, et le guérissant, lui faisant une meilleure personne. Ceci a toujours résonné avec moi. Qu'a pu être plus excellent ? Si vous voulez fondre le coeur d'une femme, laissez-la savent qu'elle vous incite à vouloir être une meilleure personne. C'est finalement comme un Christ et vraiment une impulsion excellente, incorporée dans le mythe de la beauté et de la bête. Je toujours me suis senti qu'il y avait quelque chose stupéfiant au sujet de l'idée comme par magie de la transformation femelle mettant en évidence le meilleur dans d'autres par l'amour.
Mais il y avait une raison plus foncée que ceci a résonnée avec moi. Il était cette croyance harcelante qu'il y avait quelque chose en soi fausse avec moi parce que je suis un homme. J'ai cru pour une bonne partie de ma vie que les hommes comptent sur la femme pour nous domestiquer et pour nous dessiner de retour dedans à la société. Sans eux nous sommes condamnés pour être des pêcheurs. Nous marcherons de manière égoïste cette terre, alimentant nos recommander violents d'animal au péril de n'importe qui qui obtient de la manière. Sans femmes, nous ne prendrons pas la responsabilité de n'importe quoi et de n'importe qui. Nous perdrons la perspective et le respect pour d'autres. Il est foncé, il est inutile et il est cynique mais ce n'est pas une idée que je peux abandonner facilement.
Regardant en arrière, il est facile de voir d'où ce sentiment vient. Notre rhétorique de modestie semble enseigner que les hommes sont des esclaves à leur sexualité. Les femmes doivent s'habiller modestement pour prendre la charge de notre dégoûtant, convoitant s'occupe de nous garder de l'consommation sans ressource par péché. Que sommes-nous à faire ? Au-dessus de ma vie nous avons apporté quelques très louable et modifications nécessaires dans l'enseignement des classes primaires, avec la direction deux profonde pour garder contre la possibilité de mauvais traitement à enfant. Aucun doute le besoin de cette règle n'a été fait tous trop évidents par de vrais et tragiques cas d'abus se produisant dans ce qui devrait avoir été un espace sûr et sacré. Je vraiment identifie le besoin. Je vois le mal que le démenti pourrait causer. Je sens le mal qui serait permis. Voici mon problème. Ces modifications ont été apportées et imposées en vue de les hommes seulement. Les femmes peuvent encore enseigner une classe primaire seuls. Le concept fondamental semble être que les femmes sont sûres et les hommes sont dangereux et ne peuvent pas être faits confiance. Je me rends compte que les nombres soutiennent cette hypothèse. Je sais que la science qui montre testostérone est associée à l'agression. Les hommes sont les auteurs dans la grande majorité de cas de violence sexuelle au moins, et je crois la majorité d'abus physique aussi bien.  Dans ma propre salle, nous avons été dits que les jeunes hommes ne doivent pas être considérés comme jamais pour aiders avec des soins des enfants pour aucune activité jamais.   l'implication est qu'ils sont dangereux.
Ce que je ne peux pas aider pour se demander est ce que ceci fait à la psyché d'un jeune homme. Comment peuvent ils se développer dans des pères avec eux idée plantée dans eux qu'ils peuvent juste manger leurs jeunes.  En fait, je connais parce que j'étais par le passé ce jeune homme. Je suis comme repoussé par l'idée de la violence et abus en tant que n'importe qui. N'importe quel groupe avec les membres qui pourraient traiter d'autres qui la manière, celle était capable d'être que le malade et le poltron, n'est pas quelque chose j'a voulu dont j'ai voulu être une cloison. Pourtant ici je suis, biologiquement construit pour la violence. Je me suis développé se sentant qu'il y avait un monstre à l'intérieur de moi. Cette idée a été subtil renforcée par une certaine perception mormone, et peut-être c'est une perception américaine, que les hommes marient toujours au-dessus d'eux-mêmes dans l'échelle de spiritualité et de droiture. En fait, c'est une agrafe de la défense de pourquoi des hommes sont donnés la prêtrise et les femmes ne sont pas. C'était un argument que j'ai acheté le crochet, ligne et platine. Je me suis jeté dans des conversations en ligne innombrables avec une défense énergique de cette idée. Je pense qu'il est facile d'amortir cette défense comme insincère, ce peut-être il est juste modestie fausse venant d'arrogant, rationalisant des hommes. Je peux vous assurer dans mon cas qu'il n'était pas. J'ai fait se baser un sincère et profondément une auto-répugnance sur mon genre. C'était une grande partie de la dépression et culpabilité excessive que j'ai luttée avec dans ma vie. Car je suis entré dans un espace libre plus sain par le temps et le travail, cette défense des hommes ayant besoin de la prêtrise davantage que des femmes sonne maintenant la cavité.
Au delà de l'énigme évidente de pourquoi la prêtrise est signicative si elle peut seulement être employée par des citoyens de la deuxième classe, peut-elle l'idée que les femmes sont des hommes naturellement plus spirituels de cause pour évacuer la direction spirituelle dans la famille, prêtrise ? Pouvons-nous être des pères à nos enfants du tout sans Dieu compensant nos insuffisances naturelles avec une infusion de sa puissance ? Est-ce notre défaut si nous échouons ?  Au cas où nous juste abandonner ?
Je ne suis pas sûr comment cette idée de dépravation masculine naturelle a pris racine en théologie qui rejette emphatiquement l'idée que l'automne d'Adam a menée à la dépravation morale de l'humanité mais ici il est. En fin de compte, il est ma conviction profonde que je suis un enfant de Dieu et tiens une étincelle du divin chez moi qui m'a sauvé. Je me suis tenu sur celui par quelques fois véritablement foncées. Par lui tout, je crois toujours en valeur de nos relations entre eux. Je crois en puissance de mariage éternel. Je sais que nous pouvons nous renforcer dans nos faiblesses. Je sais que traitant des faiblesses de chacun nous enseigne à aimer d'une vraie et réelle manière. Ce qui m'a pris le temps réalise que ces faiblesses sont uniques à chaque individuel et actuel dans chaque associé.  Chacun les couples auront sa propre dynamique. Un demi- de la dyade n'épargne pas l'autre. Au lieu de cela, nous nous sauvons avec un tas de douleur et âme étirant la croissance des deux côtés le long de la route. Je crois que c'est la puissance rédemptrice de n'importe quelles relations sociales. C'est la puissance rédemptrice de Zion.